Tout était calme dans notre appartement, la journée s’achevait, on revenait juste de notre petite balade romantique dans la ville. Avec le retour des beaux jours, tu m’avais fait le plaisir immense de réaliser un de mes fantasmes. Tu t’étais habillée hyper sexy pour sortir, un petit haut mauve moulant qui laissait deviner la forme de ta si belle poitrine que, pour une fois, tu n’avais pas emprisonné dans un soutien-gorge. Une jupe noire courte, mais pas vulgaire, te tombait un tout petit peu plus haut que le genoux. Tu portais une paire de talons assez hauts. Un magnifique porte-jarretelles rouge, avec son minuscule string en dentelle assorti, tenait une paire de bas fins et transparents…
Et voilà mon fantasme était réalisé ! Si simple, il est vrai, mais quel bonheur, cette après-midi entier à se promener, de magasin en magasin, en sachant que moi seul pouvais savoir ce dont ton corps était couvert. D’ailleurs, j’en ai un peu profité car je t’ai fait essayé une tonne de fringues en profitant à chaque fois pour glisser un oeil dans la cabine d’essayage pour admirer ton corps si parfaitement enveloppé, d’ailleurs quand j’y repense d’autres en ont peut être profité aussi tant j’ai regardé dans ces cabines, enfin ce n’est pas si grave. J’ai même poussé le bouchon jusqu’à t’emmener boire un verre dans un café si désert que j’ai réussi à te faire remonter un peu ta jupe à l’abri des regards, me laissant voir toutes ces beautés et j’avoue que maintenant je suis bien excité.
Je me propose, après t’avoir longuement embrassée et remercié pour tout ce bonheur, de nous servir l’apéro, chose que tu acceptes. Alors nous voilà tous les deux, assis dans notre canapé, trinquant nos verres de champagne, car tu as bien mériter ce doux breuvage pour tant de plaisir donné. Alors je t’embrasse et mes mains passent sur tes épaules puis mes lèvres quittent les tiennes pour couvrir ton cou de mille baisers. Je sens que tu t’abandonnes sous la douceur de mes baisers. D’ailleurs, tu as les yeux mi-clos, tu es tellement belle quand tu te laisses aller comme ça. Mes lèvres retrouvent les tiennes et mes mains quittent tes épaules pour caresser tes seins à travers ton haut si doux. D’abord de légères caresses sur les tours puis je fais de petits cercles avec mon index sur tes aréoles et tes tétons qui ne tardent pas à apparaître à travers le tissu bosselé. Puis d’une voix murmurante, tu me demandes d’aller continuer tout ça dans notre chambre. Tu prends nos coupes et moi la bouteille, on entre dans la chambre et tu t’allonges sur le lit, retirant ton haut, libérant tes seins gonflés de plaisir afin que je puisse les embrasser.
Ma langue reprend là où s’étaient arrêté mes mains. Du bout de cette langue affamée, je joue avec tes tétons, je décris de grands cercles sur tes melons, les enroulant du mieux possible comme si je pouvais les prendre entièrement dans ma bouche, chose que je sais impossible vu la belle taille qu’ils ont. Puis soudain une envie me passe par la tête. Je saisis la bouteille de champagne et j’en verse un peu sur ta gorge, faisant naître un petit ruisseau courant vers tes seins. Mais à peine arrive-t-il entre tes seins que déjà, de ma langue, je le fais disparaître. Je recommence, mais cette fois, je le fais naître sur ton menton, ce qui me laisse le temps d’en mettre quelques gouttes sur l’extrémité de tes seins. Pendant que ce nouveau ruisseau coule, j’essaie de faire rouler chaque goutte autour de tes tétons, puis le ruisseau arrive à ton nombril où il se jette et meurt, là, dans cette petite grotte.
Ma tête est si près de ton fruit défendu, je ne peux m’empêcher de défaire ta jupe et de la jeter par terre, découvrant toute ta beauté. J’en profite pour me débarrasser de mes vêtements. Je descends la tête au niveau de ton string, à travers lequel je distingue la petite bande de poils qu’il te reste sur le pubis. J ’embrasse ton sexe à travers cette dentelle, je sens tes jambes s’écarter pour me permettre de faire glisser ma langue entre ta cuisse et l’une de tes lèvres, tu raffoles de cette caresse et je ne cesse d’apprécier de la faire. Quel bonheur de te voir t’ouvrir comme une fleur ! Je remarque aussi que le rouge de ton string commence…
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