« – Alors te voilà enfin … »
Tu baisses les yeux et rougis, honteuse de m’avoir fait attendre si longtemps. Je pose le livre que je lisais et viens vers toi. Tu sens ma main sur ta joue et oses jeter un bref regard vers mon visage avant de baisser encore les yeux. Je murmure :
« – Très bien, petite pute, tu as compris ta place. »
Je sors alors mon sexe et tu le regardes avec curiosité. Puis tu tends timidement la main. Tu t’arrêtes et me regardes à nouveau. Je te souris. Tu te décides alors et saisis mon membre puis commence à le masturber. Tu sens mon souffle sur ta nuque alors que je te glisse à l’oreille :
« – Tu sens ? Il grossit … »
Ma main passe dans tes cheveux. Tu murmures en réponse :
« – Oui, je la sens, Maître. Je … Je peux la sucer ? Elle me fait envie … »
A nouveau tu as levé les yeux et nos regards se croisent. Nous restons un moment ainsi. Tu attends ma réponse avec impatience, me branlant vigoureusement pour me donner envie. Mais je rétorque :
« – Non. Tu n’as pas le droit. »
Ton visage se décompose. Tu sens les larmes te monter aux yeux. Mais tu baisses juste la tête en murmurant humblement :
« – Bien, Maître, comme il vous siéra. »
Et tu continues à me caresser doucement. Je commence alors à parler tout seul :
« – En fait je vais prendre cinq soumises. Chacune réservée à un usage. Une sucera, l’autre me donnera sa chatte, la troisième ses seins et une autre ses pieds. Bien sûr toutes me branleront et se feront toucher. Et puis elles pourront jouer entre elles pour m’exciter. Toi tu es la cinquième. »
Je sens le dépit dans ta voix : tu voudrais être la seule à combler mes envies.
« – Bien, Maître. Quelle sera ma fonction ? »
« – Toi tu seras celle que j’encule. »
Tu souris enfin, consciente que je te fais un grand honneur. Tu sais en effet combien j’aime la sodomie et tu n’as guère de doute que tu seras celle que je prendrais le plus souvent. La suceuse sera ta seule vraie rivale, les trois autres ne seront que des gadgets… Tu dis alors révérencieusement :
« – Désirez-vous m’utiliser maintenant, Maître ? »
Je te caresse distraitement la poitrine et soupire. Puis je dis d’un ton las :
« – Si tu veux vraiment… Mets-toi à quatre pattes. »
La raideur de mon sexe entre tes doigts dément mes propos mais tu ne dis rien et obtempère, tendant ton cul vers moi. J’ajoute alors en caressant tes hanches :
« – Je suis vraiment trop bon de céder ainsi à tes caprices… »
Tu sens l’excitation derrière mon ton nonchalant. Tu sais que dés que mon gland aura effleuré ta rondelle je t’exploserai l’anus. Mais c’est ton rôle. Tu te retournes alors et t’assois par terre. Je fronce les sourcils :
« – Que fais-tu ? »
« – C’est pour vous, Maître. »
Tu commences alors à te caresser la chatte, ouvrant les pétales de ta fleur. Tu susurres lascivement :
« – Regardez, Maître… »
Je rétorque sur un ton agacé :
« – Tu n’es pas la petite chatte de mon harem, tu es le trou du cul. Pourquoi me montrer ça ? »
« – Pour vous montrer combien je mouille. Pour vous montrer que je suis une salope. Pour vous montrer que je suis prête. »
Tu continues à te caresser puis tes yeux quittent ta chatte pour se planter dans les miens :
« – Pour vous dire que je veux être ravagée… »
« – Je le sais ! Et, quand bien même tu ne voudrais pas, je le ferais malgré tout… »
Tu as un petit sourire : tu sais que ton petit show à eu l’effet escompté et que cela m’a plu. Tu te remets alors en position et dis :
« – Veuillez m’excuser, Maître. Je suis à vous. »
Tu sens ma main sur ton dos. Puis ma voix qui murmure :
« – Tu es toute excusée… »
Ma verge effleure ton fessier. Tu te tends, trembles un peu. Puis tu prends une grande inspiration et pose ton buste au sol pour surélever davantage ton cul. Tu sens que j’ouvre tes fesses. Mon doigts effleure l’entrée de ta grotte. Je soupire :
« – Comme ça m’a l’air étroit… Il faut te détendre. Remédions à cela… »
Puis je te déchire violemment. Tu pousses juste un cri avant de serrer les dents en pleurant. Un cul ne crie pas : il se fait juste défoncer.
Tu te fais limer longuement. Peu à peu ton cul se distend et tu as moins mal. Ta lèvre saigne de l’avoir trop mordu. Je dis alors :
« – Ça commence à bien glisser ! Je t’autorise à crier un peu, ma chienne, ça me motivera pour te prendre plus fort. »
Tu te laisses alors aller à gémir de douleur. Tu sens que ma hampe plonge plus profond, que nos peaux claquent plus fort. Enfin je murmure :
« – C’est bon, arrête. »
Et je donne de violents coups de rein. Tu n’arrives pas à retenir tes cris et quelques-uns t’échappent. Je grogne alors :
« – Je t’ai dis d’arrêter… »
« – Par… Pardon, mon Maître. Vous me faites tant de bien que j’ai du mal à me retenir… »
Tu sens ton anus se vriller alors que je change de position. Tu comprends vite pourquoi lorsque mon pied vient écraser ton visage au sol. Je hausse alors le ton :
« – Je m’en fous de tes excuses ! Tu me dois obéissance ! »
Ton cou te fais mal, ta mâchoire aussi. Tu balbuties :
« – Ou… Oui, Maître. »
« – Bien. Lèche mon pied. »
Tu t’efforces d’obéir. Ma position m’empêche de te bourrer aussi fort qu’auparavant. Tu dis alors :
« – Maître, puis-je hasarder une suggestion ? »
« – Si tu n’as pas peur de la sanction si cette dernière est mauvaise, oui. »
Tu continues alors sans hésitation :
« – Laissez moi me mettre sur le dos et rabattez mes jambes à côté de mes oreilles. Vous pourrez ainsi m’enculer profondément tout en m’écrasant le visage avec votre pied. Je pourrais vous sucer de temps à autres aussi. »
Je gronde :
« – Tu n’es pas la suceuse… Pour qui te prends-tu ? »
« – Pardon. J’ai été présomptueuse, Maître. »
Je sors alors de ton anus et ôte mon pied puis répond :
« – Oui. Tu seras punie. Mais plus tard. Met ton idée en pratique : je veux t’enculer fort en t’écrasant la gueule. »
« – Bien, Maître. »
Tu es rapidement en position et je replonge en toi avec avidité. Tu sens encore mieux ma verge que dans la position précédente. Et tu peux librement lécher mon pied et te faire écraser le visage au sol. Je pose même parfois mon pied sur ta gorge pour t’étrangler. Tu regrettes cependant de ne pouvoir sucer cette verge que tu vois entrer et sortir de ton anus désormais bien dilaté. Mais telle est ta place, ton rôle.
Enfin tu sens que ma jouissance approche. Tu ne dis rien, ne bouge pas, simple objet de mes désirs. Ta chatte ruisselle pourtant de ton propre plaisir et tu réalises honteuse que tu aimerais être la petite chatte aussi. Ou que je daigne juste te doigter, te caresser le clitoris. Tu n’oses le faire toi-même de peur des représailles. Je te libère de ta torture d’une simple phrase :
« – Jouis pour moi. Je te juterais à la gueule après. »
Et je sors de ton cul. Tu te doigtes alors fiévreusement et ne tardes pas à hurler ton plaisir en me demandant de te regarder, d’être le témoin de ton excitation. Tu es toute tremblante lorsque mon sexe tendu s’approche de toi et tu t’apprêtes à le gober. Je te gifle :
« – Tu n’es pas la suceuse ! »
« – Par… Pardon. »
Tu regardes, ne sachant trop ce que tu peux te permettre de faire pour me faire jouir. Je te laisse ainsi quelques secondes, savourant ton désarroi, puis dis :
« – Tu peux lécher cependant. Et me branler, bien sûr. »
Tu arbores un large sourire alors que tu t’empresses de faire courir tes mains et ta langue sur ma hampe et mes bourses. Tu manques à plusieurs reprises de sucer mon gland mais je te retiens toujours, tirant tes cheveux en arrière, te crachant au visage et pliant ta nuque jusqu’à la faire craquer. Je t’annonce enfin que tu n’as plus le droit de me toucher. Tu restes alors visage tendu et bouche béante alors que je me branle violemment devant toi. Je gicles alors et tu avales avec gourmandise ma semence.
Mon sperme coule le long de ton nez et gicle sur ta langue. Je contemple mon œuvre. Puis je te tire par le bras. Tu suis docilement. Je t’emmène à la cave, t’attache et dis :
« – Tu as plusieurs fois voulu jouer le rôle de la suceuse. Tu dois être punie. »
Je prends alors un fouet et te frappe encore et encore. Quand j’arrête tu es au bord de l’évanouissement. Je passe alors derrière toi et tu sens que je passe du sel sur tes plaies. Tu hurles. Je repasse devant toi et te gifle pour te faire taire. Puis je continues ma besogne et tu finis par perdre conscience…
Lorsque tu te réveilles tu étouffes et a du mal à respirer. Tu comprends rapidement que je suis en train d’utiliser ta bouche pour me faire du bien. Tu es assez surprise. Tu pompes cependant avec avidité. Tu m’entends alors dire, haletant :
« – Je t’ai utilisé avant… »
Tu remarques enfin le goût de ton cul. Mais tu suces et lèches. Je continues alors :
« – Tu voulais voler ce rôle… Je devais juter avant que tu ne reprennes conscience pour te frustrer mais tu es plus résistante que je ne pensais… Ou bien j’ai été trop gentil ! »
Tu suces et aspires toujours plus fort, ignorant la menace implicite. Lorsqu’enfin je jute tu avales sans te poser de question. Je pousse un soupir d’aise et te caresse les cheveux en murmurant :
« – Je vais avoir bien du mal à trouver une suceuse qui soit aussi avide que toi… »
Je fais quelques mouvements dans ta bouche puis relâche ta tête. Tu continues à me sucer doucement. Je dis d’un ton pensif :
« – Peut-être devrais-je changer ton rôle après tout… »
Tu t’empresses alors d’arrêter de sucer et dis d’un ton suppliant :
« – Non, Maître, par pitié ! Laissez-moi être le trou du cul ! »
« – Tu y tiens tant ? »
« – Oui, oui ! Je veux vous sentir en moi ! »
« – Quand tu me suces aussi je suis en toi… »
« – Oui, mais… »
« – Mais ? »
Tu rougis et dis, honteuse :
« – J’aime tant sentir que vous forcez l’entrée… Et puis vous aimez ça, je le sais. Et vous mettez tant de fougue à m’enculer… Je ne veux pas perdre ça ! »
Je m’agenouille alors et prend ton visage dans mes mains :
« – Ce n’est pas toi qui décide. »
« – Oui, Maître… Mais, par pitié, laissez-moi remplir ce rôle. Je ferais tout pour ça. »
« – Tu dois déjà faire tout pour moi. »
« – Oui… »
Tu commences à pleurer doucement. Je goûte tes larmes puis soupire :
« – C’est bon, tu l’as ton rôle. »
« – C’est vrai ? »
Je souris :
« – Mais oui. »
Tu es excitée comme une gamine lorsque tu réponds :
« – Merci, Maître, merci ! Laissez-moi vous sucer pour vous remercier ! »
Tu restes figée, réalisant que tu viens de commettre un impair. Tu paniques mais je me mets à rire :
« – Si ça se trouve je ne trouverais personne d’aussi douée et je te donnerais deux rôles ! »
« – Vous feriez ça ? »
« – Peut-être… Ou bien j’autoriserais toutes les soumises à sucer. »
« – Non ! Juste moi ! »
Je t’adresse un regard de réprobation. Tu baisses les yeux et t’excuses avec une petite voix. Je soupire à nouveau :
« – Écoute, je vais te laisser me sucer une dernière fois et après je t’enculerais. »
« – Chouette ! »
« – Il y a un prix à payer… »
« – Lequel, Maître ? »
« – Je te battrais jusqu’à l’inconscience après. »
Tu réponds sans hésiter :
« – D’accord ! »
Je souris d’un tel enthousiasme. Puis j’éclate de rire et enfourne ma queue dans ta bouche. Tu pompes et aspires avidement. Enfin tu la laisses partir à regret et me laisse manipuler ton corps alors que je te ramone le cul. Tu jouis sous mes doigts qui caressent ton vagin. Puis c’est mon tour de jouir et je remplis ton anus de semence.
Je reste allongé contre toi, mon sexe encore planté en toi. Je caresse ton corps et embrasse ton cou. Je susurre :
« – Prête ? »
« – Oui, Maître. Je ne regrette pas. Punissez-moi pour avoir eu droit au privilège de vous sucer. »
Je me relève alors et t’attache solidement. Puis je commence à te battre. Le fouet à nouveau. Puis de la cire. Quelques pinces sur ton corps. A nouveau le fouet. Je m’aperçois que tu mouilles malgré tout. Ou à cause de cela. Je redouble de violence. Tes cris se transforment en faibles gémissements alors que tu perds contact avec la réalité. Je t’enfonce un bout de bois râpeux et anguleux dans la chatte. Cela te réveille un peu et tu cries à nouveau. Puis tu jouis. Et tu cesses de réagir après que deux vagues de spasmes consécutives aient parcourus ton corps. Je te fouette encore un peu pour m’assurer de ton inconscience et te laisse ensuite gisante, attachée avec le pieu planté dans ta chatte, seule au milieu de la cave…
Proposée par Talis Cat