Le bachelor pad de Marco II

– Alors Judith, tu as envie que je te prenne avec ma grosse bite ?
– Oui, s’il-te-plaît François, baise-moi comme une petite salope !

Je sens ses mains délaisser mon cou et descendre sur mes seins. Il commence à les taper, aucun mec ne m’avait fait ça avant. Ses mains claquent mes mamelons sans relâche et je sens un picotement de douleur sur ma peau. J’anticipe ses tapes et laisse échapper un petit cri à chaque contact. Je sais qu’il aime m’infliger cette délicieuse douleur, car à chacun de mes cris sa queue semble s’enfoncer un peu plus dans ma gorge. Merde ! C’est incroyable à quel point ce mec m’excite. Mon cul glisse sur le comptoir tellement je mouille, je me colle les cuisses; je suis presque trempée jusqu’aux genoux. Les claques cessent, son membre s’enfonce et je sens les doigts de François qui glissent sans résistance dans ma chatte. Je grogne avec sa queue toujours en bouche. Il se retire de tous mes trous et vient se placer sur le côté de l’ilot. Je redresse la tête et le regarde en attendant qu’il me donne la permission de me redresser.
– Redresse-toi Judith. Tu mouilles vraiment comment comme une petite chienne ma belle, même tes bas sont trempés ! On va devoir faire quelque chose de toute cette mouille.

En disant cela, il plonge trois doigts dans ma chatte et les ressort en contemplant les longs filaments de cyprine qui les joint à mon trésor. Il n’a pas à le dire, je comprends tout de suite; j’ouvre la bouche et attends qu’il me fasse goûter mon plaisir. Il sourit :
– Wow ! Tu es bien dressée ou tu es seulement naturellement aussi nasty ?

J’ouvre la bouche plus grande, sors la langue et lui lance mon regard le plus pervers en guise de réponse. Ses mains sont énormes et la largeur de ses trois doigts écartent ma bouche. Il fait quelques vas-et-viens, je gag un peu. Il retire ses doigts :
– Lèche-les bien, je veux qu’ils soient tout propres ! Mets-toi à genoux, écarte les jambes et mes-les bras dans le dos.

Quel putain d’allumeur celui-là, quand est-ce que je pourrai enfin m’empaler sur sa queue ? Pendant que je lèche ses doigts, il se contorsionne et se mets le visage entre mes jambes. En se glissant sous moi, son nez effleure mon clitoris, un grand frisson parcoure mon corps, je vais jouir c’est certain.
– Je t’interdis de jouir salope.

Merde ! Il lit dans mes pensées ou quoi ?
– Maintenant, fais aller ton cul et ta jolie chatte sur mon visage, je veux que tu me couvres de ton jus.

Wow ! Une autre première… Ce François en vaut vraiment la peine. Je m’exécute avec plaisir, je vois notre reflet dans le frigo et me voir ainsi assise sur son visage m’excite encore plus, mais je me sens en contrôle. Placée ainsi je le domine un peu et cela retarde mon orgasme. Je me mets à le torturer en me déhanchant le plus lascivement possible et en laissant échapper mes râles les plus sexy. Je lui passe mon clitoris et mon petit cul sur la langue et sur le nez, arrrggg tout ça est tellement bon. Si j’avais su, je me le serais fait depuis longtemps ce beau François ! Sa queue est bien droite dans le vide, j’ai envie de me pencher par avant et de le sucer encore, mais je me dis que sa position doit être très inconfortable et je n’en peux plus, je veux sa queue en moi, je veux qu’il me défonce comme une bête. Je me redresse donc pour le laisser se relever, ce qu’il fait sans négliger de bien me lécher une dernière fois. Je tremble de plaisir et de me tenir ainsi sur les genoux, les muscles de mes cuisses sont tendus et je n’en peu plus de me retenir.
– Alors ma petite chienne, es-tu prête à te faire défoncer comme tu le mérites ?

Il me pince les cuisses, mes muscles sont durs.
– J’espère que tu n’es pas déjà fatiguée ma poupée ! Il te reste encore beaucoup de travail à faire avant que cette queue te vienne sur la gueule !

Je le regarde droit dans les yeux en me mordant les lèvres. Putain ! Il m’en fait baver François ! Il grimpe sur l’ilot et vient me rejoindre. Il s’étend sur le dos, son énorme sexe pointe le plafond, je le convoite, je le réclame. Je le regarde couché ainsi sur le dos, sa grosse main sur sa grosse bite; mon plaisir s’empare de moi. Je suis toujours sur les genoux et je commence à me caresser frénétiquement le clitoris et les seins, je n’ai d’yeux que pour sa queue. Je me lèche les lèvres en en me plaignant comme vraie chienne.
– Debout Judith, viens jouer avec ta chatte au dessus de moi, continue de te caresser, tu m’excites beaucoup ma belle ! Tu n’en peux plus n’est-ce pas ?

Je ne suis même plus capable de répondre, mon corps est parcouru de spasmes, je ne peux que gémir.
– Tu la veux ma queue ?

Je réussi à articuler un petit « oui ».
– Allé ma petit pute vas-y empale-toi bien, tu l’as mérité.

J’ai presque les larmes aux yeux tellement je suis soulagée de l’entendre me donner cette permission tant attendue.
– Une chose : Tu restes sur tes pieds pendant que tu me baises Judith. Je ne perds pas mon temps avec les salopes paresseuses qui me chevauchent sur les genoux. Et mets-les mains derrière ta tête; tu pourras sauter le gym ce soir !

J’ai déjà des crampes dans les cuisses, mais je remercie le ciel pour mes talons hauts. Toute bonne perverse sait très bien qu’il est beaucoup plus facile d’être accroupie sur des talons; the higher the better ! Je me croise les doigts derrière la tête et je commence à m’abaisser vers sa queue en ondulant les hanches pour lui montrer que justement, je vais souvent à la gym et que son petit défi ne m’en fais pas baver… Je m’en délecte et en croisant son regard surpris : Ha le salop ! Il croyait que j’allais m’affaisser ! Je reprends contrôle de la situation, je me sens tellement salope. Après une descente qui nous sembla une éternité, nos deux sexes se rencontrent et je m’empale lentement son énorme manche. Je sens son gland étirer les parois de ma chatte malgré qu’elle soit toute mouillée.
– Merde Judith, ta chatte est si étroite, tu es délicieuse ma salope ! Ne t’arrête surtout pas.

Finalement, il ne me laisse faire que deux va-et-vient sur son merveilleux membre avant de me retourner vigoureusement sur le ventre. Il m’écrase le visage sur le marbre en enfonçant quatre doigts dans la bouche. Mon entre-jambe lui est totalement offerte, ses doigts dans ma bouche, je suis redevenue sa chose. Je veux qu’il me fasse jouir, je veux exploser sur son énorme sexe. Je râle sensuellement :
– François je t’en supplie baise-moi maintenant, je suis à toi !

Il commence à me défoncer sans retenue et je cris comme une chienne, ses doigts toujours dans ma bouche, il grogne fiévreusement aussi. Il crache un peu de salive sur mon petit cul, puis je sens son pouce s’y enfoncer. Je pousse un long râle, c’est trop bon. Il remue son pouce dans mon cul et sa main dans ma bouche lui permet de pousser sa queue très profondément en moi.
– Maintenant jouis pour moi ma salope. Montre-moi comment tu aimes ce que je te fais.

Je n’ai pas besoin de plus, je crie, je ne suis plus dans mon corps, je ne suis qu’orgasme, je convulse sur sa queue. Il se retire de partout, ma chatte coule et mon corps s’affaisse sur le marbre. La bouche ouverte, le regard lubrique, je suis dans un autre monde. François descend de l’ilot et s’approche de ma bouche. Il me caresse les cheveux d’une main en se branlant de l’autre, son gland ouvre mes doucement mes lèvres.
– Tu es trop bonne Judith, haaaaaaaa ouvre la bouche et regarde-moi ! Oui comme ça ma belle, tu es tellement salope. Je veux que tu sois à moi.

Son long jet atteint le fond de ma gorge, je le lui montre et fais glisser d’un doigt le sperme qui a atterri autour de ma bouche. Je me lèche le doigt en le regardant et j’avale bruyamment cette délicieuse gorgée. Je lui souris, me redresse et descends de l’ilot. Mes jambes tremblent, mais je fais tout mon possible pour ramasser mes vêtements gracieusement. Je commence à me rhabiller.
– Où vas-tu ?
– Je vais à la gym et ensuite je rentre chez moi.

Il s’approche de moi, il est encore nu.
– Marco ne revient que la semaine prochaine finalement. Reste pour la nuit.

Je le regarde sans rien dire, je le contourne et me dirige vers l’escalier.
– Je vais sous la douche.

Une semaine de sexe délirant a suivi cette nuit de folie. François et moi… Disons que nous sommes devenus un item. Je suis à lui et il est à moi, tant que cela ne nous empêche pas de baiser qui nous voulons quand nous voulons. De toute façon, il est toujours à voyager et n’est pas souvent en ville. Nous avons une relation constituée de textos pervers et de mails aussi débauchés, mais lorsqu’il est dans le coin nous aimons jouer au couple… Un couple assez perverti et ouvert !

Voilà pour ma première histoire… Judith est toujours à se caresser quelque part, commentez si vous voulez la suivre ailleurs !

Proposée par Nympho_Judith

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