Nathalie, avec une propension à dire bordel quand une émotion venait troubler ses mots, était simplement un peu perdue dans ce monde, elle avait fait de mauvais choix et se laissait bercer par les autres. Les mots d’amour qu’on lui proposait…
On avait dit mille fois je t’aime à Nathalie, sa petite bouille poupine et son rire qui faisait remonter ses joues comme un hamster qui stockerait ses provision lui donnaient un visage attirant. Elle était mariée, triste, seule, malheureuse et se mettait toujours à distance de ceux qui auraient voulu la prendre dans les bras… juste la prendre pour la protéger un peu.
Je l’avais rencontrée par un hasard suspect, elle était là au milieu d’une foule bigarrée et dès le premier regard je n’avais qu’elle à voir. De son coté elle ne m’avait pas remarqué, prise par ce qu’elle était a éviter tous ce qui pouvait se présenter. Quand on la regardait trop elle changeait de position, baissait les yeux ou s’enfuyait tout simplement.
Je n’étais rapproché ostensiblement pour croiser son regard, pécher un peu dans ses yeux le peu que j’aurais pu y voir, croiser mes pupilles aux siennes. Puis tout doucement comme on approche un animal effrayé j’étais près d’elle. En me retournant j’avais eu quelques mots pour savoir ce qu’elle faisait là avec tous ce monde autour alors que l’on sentait bien qu’elle n’y avait rien à y faire. Puis j’avais parlé et encore parlé, la laissant répondre un petit peu pour en connaitre un peu plus sur elle. Avant de la quitter je lui avais dit ce que je pensais de sa personnalité, j’ai tout de suite senti que j’avais tapé juste, qu’elle était troublée, parce que mes mots étaient sa réalité. Comment avais-je pu la percer autant se demandait-elle ?
Alors elle avait accepté de venir me voir le lendemain, chez moi.
Elle était la devant la porte, belle et seule comme je l’avais vu avec tous le monde de la soirée d’avant.
Sans presque rien lui dire je lui avait pris la main, et l’avais conduit dans ma chambre. Après un baiser où j’avais déjà mis un amour naissant je l’avais allongé sur le lit en lui chuchotant que je voulais l’aimer. elle s’était laissée faire se croyant frigide puisque le plaisir ne l’avait pas préoccupée depuis qu’elle avait tenté ces expériences.
En l’embrassant toujours, et répondant à mes baiser, je glissais mes mains son sur corps, sa peau douce répondait à mes caresses et je la sentais frissonner sous mes doigts, elle approchait doucement son bassin de mon entre-jambes qui durcissait rapidement.
Puis elle décida de se mettre nue gardant seulement son string.
J’en profitait pour masser un de ses seins et suçoter l’autre. Je sentais la pointe des deux se durcir doucement tendrement. Son bassin se faisait plus pressant et quelques petit cris venaient naître entre deux baiser enflammés.
Ma main glissa doucement de son seins à son ventre pour se poser enfin sur la doux carré de son string. Je sentais la moiteur que sa cyprine avait imprimé à ce petit morceau de tissu et je jouais avec le faible obstacle pour caresser son clitoris. L’humidité de l’endroit avait tout vaincu, le tissu se mit à vouloir s’échapper et le doigt qui caressait son entre-jambes vint se poser sur son organe sensoriel avec plus de pression encore, puis glissa instinctivement, pris par l’humidité du lieu, vers l’entrée de son vagin.
Tout en caressant l’entrée, il s’immisça petit à petit, cherchant le point G. Nathalie bougeait de plus en plus en accompagnant ses mouvement de cris de plus en plus forts. De temps en temps elle disait comme une évidence qu’elle avait été conne de pas avoir se plaisir plus souvent. Elle avait le sexe coulant de plaisir et mon doigt cherchant au sein de son vagin tous les endroits où en appuyant plus fort elle aurait encore plus de ce plaisir auquel elle n’avait pas cru auparavant…
La suite au prochain numéro si j’ai de bonnes notes
Proposée par melenas